La connaissance de la vérité nous rend libres (Jn 8:32) ! Alors, allons-y !
Les principautés et autorités ont été complètement dépouillées, désarmées. (Col 2:15)
Le diable a été rendu sans puissance, nous sommes libres de la peur ! (Héb 2:14-15, Is 14:16-17)
Il a été jeté dehors, à l’extérieur de notre citoyenneté céleste. C’est à nous, habitants des cieux, de nous réjouir ! (Ap 12:8-12)
Jésus nous rend participants de son cortège triomphal (« thriambeúō »). Ce triomphe concerne l’après victoire de Christ ! Le terme en grec pour triomphe fait référence à un général romain qui, lorsqu’il remporte une grande victoire, est autorisé à marcher avec son armée dans les rues de Rome. Derrière son cortège, à son chariot, étaient enchainés tous les rois et chefs vaincus. Ils étaient dénudés, enchaînés et humiliés devant tous. Voilà quel type de triomphe Christ nous a offert ! (2 Cor 2:14, Col 2:15)
Jésus est l’unique à possèder toute autorité (puissance) dans les cieux et sur la terre ! (Mt 28:18)
Jésus Christ est désormais la tête, la source de toutes autorités (puissances) ! ( Col 2:10)
Alors pourquoi redouter ? Pourquoi combattre pour la victoire alors que nous sommes appelés à tenir fermes depuis la Victoire ? Pourquoi – par « superstition chrétienne » plus que par fondation biblique – n’osons-nous pas croire que c’est un ennemi vaincu et complètement désarçonné ? Pourquoi souvent focaliser sur l’oeuvre du diable dans notre vie au lieu de contempler l’accomplissement parfait de notre sauveur à la Croix ? Pourquoi ne mettons-nous pas au centre l’oeuvre parfaite et victorieuse de Jésus Christ comme le filtre de toute adversité ? Pourquoi ne saisissons-nous pas que nous sommes complètement en Dieu (Col 3:3) ? Pourquoi ne croyons-nous pas que c’est nous qui régnons à la droite de Dieu (Eph 2:6) ? Pourquoi ne pas simplement accepter que nous sommes déjà « plus » que conquérants (Rm 8:37) ? Pourquoi redonner de « la force » à un ennemi déjà à terre en le réhabilitant « virtuellement » à travers nos faux raisonnements et croyances ?
Tenons ferme dans la vérité, c’est elle qui nous rend libres ! « C’est moi qui suis le chemin, la vérité (« alḗtheia » ) et la vie. » (Jn 14:6)
Si toute la Vérité/ Réalité (« alḗtheia » : vérité, réalité ) est une seule Personne : Christ, pourquoi en conférer à un autre ? Et si nous donnions encore plus de place à Christ ? Et si notre oeil devenait encore plus sain/simple/unique ? (Mt 6:22 – oeil « haplóos », litt : unique)
… mais celui qui est né de Dieu, se garde lui-même, et le mal ne le touche point. (1 Jn 5:18)
Il nous a délivrés de la puissance des ténèbres et nous a transférés dans le royaume de son Fils bien-aimé (Col 1:13)